domingo, 20 de abril de 2008

Mourir dans tes bras

Y en a qui meurent bien trop tard quand leur paradis est passé
Y en a qui meurent au hasard d'un coup de dé
Y en a qui meurent sans savoir qu'ils ne sont jamais nés vraiment
Y en a qui meurent sans espoir mais pleins d'argent

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent dans les mémoires c'est bien pire que perdre la vie
Où ceux qui restent quittent le noir et vous oublient
Y en a qui meurent en marchant pour aller cacher leur vieillesse
Aux neiges du grand désert blanc, plaine de promesse

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent parce que c'est beau de voir le soleil se coucher
Et d'attendre le jour nouveau de l'autre côté
Y en a qui meurent en dormant, en offrant un sourire aux anges
Y en a qui meurent comme des enfants et gagnent au change

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent la bouche pleine en libérant un dernier rôt
En se caressant la bedaine mais trop c'est trop
Quand d'autres vont le ventre vide berçant leur mort à bout de bras
En suivant la main qui les guide là où on ne les verra pas

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent par erreur pour une poussière sur la balance
Quand la justice a ses rancoeurs ou ses absences
Y en a qui meurent dans les poubelles, les bannis de la société
Leur rêve au bout d'une ficelle, comme un ballon crevé

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent au printemps comme des éclairs, comme des flambeaux
Barrant la route pas pour instant aux chars d'assaut
Y en a qui meurent avec permis matriculé comme il se doit
Laissant un casque et un fusil sur une croix

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras

Y en a qui meurent tous les soirs quand le spectacle est terminé
Quand ils retrouvent dans leur miroir leur vérité démaquillée
Y en a qui meurent en marguerite effeuillée d'une main distraite
Un peu, beaucoup, beaucoup trop vite et ça s'arrête

Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Je voudrais mourir dans tes bras
Prends ma main ne la lâches pas

Salvatore ADAMO

5 comentários:

Alexandre disse...

Bom, acertaste em cheio, sou louco por Adamo, não serei o fã nº 1 mas andarei lá perto, heheh!

E devo ter esta música mas não me lembro, tenho que ver nos meus arquivos e nos meus CDs.

Mas vou enviar-te uma que quase de certeza não tens e que é um hino autêntico: Si le ciel est amoureux de toi!

Não o tenho neste computador mas logo que possa envio!

Muitos beijinhos!!!!

Maria Clarinda disse...

Ops...Adamo...anos 60 e tais!...Uma das minhas preferidas depois do Tombe la neige!!!!
Jinhos grandes e obrigada por me fazeres voltar atrás no tempo.

Mocho Falante disse...

Grande música sim senhor

obrigado pela partilha

beijocas

O Profeta disse...

A nostalgia dos anos 60...


Doce beijo

turbolenta disse...

Uma bela canção, cheia de sentimentalismo e magistralmente cantada por esse grande artista.
Ainda hoje gosto de o ouvir.
Lembro-me tão bem deste grande sucesso da minha juventude.
Adorava este artista.
(podem chamar-me "antiquada" mas as canções dessa época eram muito melhores e havia muito bons cantores. Tinham sucesso. Faziam carreira. Não é como agora que "nascem como cogumelos" para gravarem um CD e serem votados ao esquecimento. A maior parte canta sem grande vocação, só porque acham que é bonito ser conhecido na rua.)
Ainda agora quando estive na Cidade Luz , das primeiras coisas que fiz foi ir a um sítio onde sabia venderem discos em vinil antigos e super baratos e abastecer-me. Então, da época do Adamo, Bécaud e Aznavour, havia lá imensos.
boa semana